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C’est avec grand plaisir
que je vous présente ici un extrait du mémoire de Pascale CANTENOT ,
institutrice à Versailles (78) et formée à la pédagogie musicale Orff. Ce
travail sur l’écoute musicale active a été réalisé dans le cadre
du C.A.F.I.P.E.M.F 2000 option
musique.
La totalité du document est en prêt à l'Association Orff France.
Philippe
Saccomano
l’écoute
musicale active
L'écoute relève des compétences à affermir à l'école car elle est à la base de l'apprentissage dans tous les champs disciplinaires mais elle est également une compétence spécifique du domaine musical que j'ai toujours essayé, de développer.
Aussi, ai-je beaucoup fait pratiquer des exercices d'identification et de discrimination auditives se rapportant aux qualités des sons (hauteur, timbre, durée, intensité ... ) dans le but d'affiner l'oreille et d'améliorer l'attention, Ici concentration et la mémoire ; ceci sous forme ludique et avec, me semble t-il, toujours un réel plaisir pour les élèves.
Par ailleurs, j'ai essayé, également de développer leur écoute par le chant et l'audition d’œuvres variées, essayant d'y faire retrouver les paramètres musicaux étudiés parallèlement.
Cependant, mes élèves pratiquaient-ils réellement la musique dans ces activités Même si le plaisir esthétique me semblait souvent présent, les enfants paraissaient rester à l'extérieur des oeuvres.
J'avais l'impression d'avoir une pédagogie trop centrée sur la transmission de contenus, imposant artificiellement des exercices, certes sûrement utiles mais n'ayant pas forcément de sens pour les élèves , de faire de l'écoute un éveil plus sensoriel qu'esthétique et musical.
Cette remise en question s'est faite peu à peu au cours de stages de formation aux pédagogies actives (Willems, Dalcroze, Orff ... ) et par certaines lectures qui m'ont aidée à porter un regard différent sur les capacités des enfants et sur ma conception de la musique.
Ceci peut être résumé par deux réflexions de musiciens contemporains :
-
« Avant d’être exclusivement mentale, la réception de la musique
est d’abord corporelle » F Delalande.
- « La meilleure manière d’analyser la musique, c’est d’en faire » Y.Xénakis
Ces réflexions m'ont conduite à la problématique suivante :
« En quoi des productions, sonores et corporelles, peuvent-elles stimuler l'écoute musicale active de l'élève et l'aider à reconnaître, puis s’approprier les caractéristiques des sons et de leur organisation » ?
Tenter de répondre à cette question nécessite de préciser
- ce qu'est l'écoute,
- quelle est la spécificité, de l'écoute musicale,
- ce que l'on entend par écoute musicale active.
Puis pour pouvoir parler d'éducation à l'écoute, de définir les caractéristiques de sons et de leur organisation.
Enfin d'expliciter la démarche pédagogique qui liera écoute et productions. Tout ceci sera l'objet de la première partie.
Dans la seconde partie, seront évolués les besoins de la classe et, en fonction de ceux-ci, je fixerai de objectifs, en liaison avec les Instructions Officielles, et préciserai les activités pouvant permettre de les atteindre.
La troisième partie sera consacrée au compte-rendu et à l'analyse des activités pratiquées en classe.
Enfin, avant de conclure, bilan et évaluation conduiront à quelques réflexions et questions en suspens.
1-
De l'écoute à l'écoute musicale active
L'écoute
Tout comme on apprend à l'enfant à regarder ou à comprendre un texte, il est nécessaire d'apprendre à écouter, à entendre un message sonore, donc de former un
auditeur
lucide et attentif, préconise A.Bustarret
2
«Il faut chercher les moyens d’éveiller en lui une conscience sonore et auditive qui le rende maître et non esclave du monde sonore et des médias envahissants »2
Sans cette conscience, l'auditeur sera donc passif.
Pour E. Willems15 trois termes seraient nécessaires pour situer les moments caractéristiques de l'audition et arriver à cette conscience. On pourrait dire :
- ouïr, pour désigner la fonction sensorielle de l'organe auditif, qui consiste à recevoir les sons, à capter les vibrations ;
- écouter, pour indiquer que l'on prend intérêt au son, qu'on réagit à l'impact sonore, c'est la sensibilité affective ,
- entendre, pour marquer le fait qu'on a pris conscience de ce qu'on a ouï et écouté, qu'on le comprend, c'est l'intelligence auditive (« l'entendement »).
L’écoute musicale
Toutefois, dans le domaine musical, l'intelligence auditive ne doit pas être uniquement connaissance intellectuelle c'est à dire étiquetage des éléments sonores (cf.2). La sensibilité, affective, l'émotion esthétique sont indispensables à la musicalité. On aura
donc
une approche d'abord globale et sensible car « en musique et en art, il ne
suffit pas seulement de savoir ni de comprendre, il faut tout d’abord vivre et
sentir ». « Un exercice dénué de vie tue la musicalité…Il faut
garder le contact avec la vie dans ses multiples expressions » E.Willems14
« Les connaissances théoriques sont enrichies par
l’expression vivante et la sensation intérieure de la musique » M.
Martenot11
Le meilleur moyen de garder ce contact avec la vie n’est-il pas de rendre l'enfant actif?
L'écoute
musicale active
Rendre l'enfant actif c'est ce que recommandent d'autres musiciens pédagogues.
Ainsi pour M.Frappat 5
« Ecoute et Pratique sont intimement liés : il faut écouter pour faire et faire pour écouter »
et pour C.Louis Reibel10
« C’est en jouant avec les sons vocaux et
instrumentaux que l’on suit les voies de l’invention musicale, exercice
passionnant de l’esprit créatif qui découvre chemin faisant, certains
principes de toute musique… ».
«On
enrichit l’écoute dès qu’on associe un acte corporel à la musique,
dès qu’on fait précéder le faire à l’entendre » confirme
F.Delalande4
De
plus, « Tout phénomène pour être assimilé par l’esprit et devenir
le support abstrait ( signe) d’une réalité ( concrète) doit être vécu préalablement
par le geste qui permet
d’en saisir physiquement le déroulement » dit G.Reibel12.
Pour lui, le « jeu » consiste à « prendre un corps
sonore ou utiliser la voix et se livrer à une activité d’invention
musicale qui associe étroitement le geste à la pensée ».
Une pédagogie de l'écoute musicale active fera donc jouer l'enfant avec les sons et ,avec son corps (geste vocal, dansé, instrumental...)
Mais « il y a au moins une condition psychologique qu’il faudrait bien respecter, c’est la motivation. On n’écoute, en fait que ce que l’on a de bonnes raisons d’écouter…et pour l’enfant c’est la musique qu’il est en train de faire, ou celle qu’il vient de faire » F.Delalande
Ainsi, après avoir appris à écouter ses productions personnelles puis celles du groupe dans lequel il s'est inséré pour un projet collectif, son intérêt sera éveillé pour des oeuvres de référence.
Dans son audition, l'enfant pourra alors aussi être actif, c'est à dire
« développer une stratégie d’écoute », « être attentif au
son dans sa structure vivante, dans ses perpétuelles transformations »
avoir « une certaine intention, s’appuyant sur une écoute intérieure,
anticipée ». I.Lamorthe9
Car ayant lui-même exploré les sons, il aura développé, une compréhension accrue des phénomènes sonores, une certaine curiosité et acquis des critères d'appréciation. A la lumière de ses diverses expériences musicales, il pourra comparer Indifférentes formes d'utilisation des éléments musicaux, selon les époques et les lieux.
Réciproquement des « activités
créatives » pourront être « imaginées en regard des œuvres
écoutées » G. Reibel12
2 Eduquer l’écoute
L'objectif de l'éducation musicale est donc de rendre l'enfant auditeur actif et autonome, choisissant ses objets d'écoute. Il faut lui apprendre à cibler celle-ci, à prendre des repères, se concentrer sur certains éléments. Qu'y a-t-il à entendre, à saisir dans une oeuvre ?
Tout d'abord sa structure qui se déroule dans le temps (début, développement,
fin) car dit Stravinsky « les éléments
sonores ne constituent la musique que par l’effet de leur organisation »
On cherchera ce qui est identique ou ce qui diffère : répétitions (thème), variations, comment sont juxtaposées les phrases et on pourra en déduire la forme de l’œuvre.
On pourra étudier l’agencement des plans sonores (leur alternance ou leurs superpositions), la trame (= tissu sonore, sa continuité), les émergences.
Puis l'harmonie (par opposition à la mélodie, c'est la combinaison simultanée des sons, leur superposition verticale, l'accompagnement)
Ensuite les paramètres sonores : il ne s'agit pas d'en dresser une liste exhaustive qui pourrait servir de base à une progression et à une exploration systématique, mais il me semble important pour l'enseignent de bien les avoir en tête afin de savoir les reconnaître et ne pas passer à côté lorsqu'ils surgissent dans les productions des enfants. Les exploiter ci ce moment-là, jouer avec, aura du sens pour les élèves car ils seront reliés à leur activité.
Un son peut être caractérisé par :
- sa hauteur (liée à la fréquence mesurée en Hertz - Un son est d'autant plus aigu que sa fréquence est grande). On parlera des registres grave, médium, aigu et de la tessiture d'un morceau, d'une voix (= étendue ou échelle des sons).
- son timbre (liée, aux harmoniques qui le composent) qualité spécifique 1iée à la source sonore (voix, corps sonore, instrument) qui permet de le reconnaître. On parlera de couleur, de grain.
- sa durée résonance dans le temps.
- son intensité (mesurée en décibels) niveau sonore perçu, volume du plus faible au plus fort. On utilisera les termes musicaux de Pianissimo = très doux - Fortissimo = très fort – Piano = doux - Forté = fort.
Plusieurs sons combinés permettent d'analyser :
- La mélodie succession des sons dans le temps oyant entre eux des rapports d'intervalles. On pourra repérer si elle est continue ou discontinue, ascendante ou descendante, si les intervalles sont plutôt conjoints ou disjoints....
- La phrase suite de notes formant une unité mélodique.
- Le rythme organisation des rapports de durée entre les sons, l'enchaînement de sons de durée variable peut se traduire par des frappés:
- Le tempo ou mouvement est la vitesse à laquelle se succèdent les pulsations (battements réguliers qui jalonnent le temps). On parlera de tempo rapide ou vif, modéré ou lent, d'accélérendo et décélerendo.
- La dynamique: ensemble de nuances, accents utilisés. On parlera de
contrastes, des mouvements d'intensité sonores, crescendo ou decrescendo.
- Le caractère, le phrasé, ce qui rend une phrase musicale vivante (legato, staccato ... ).
- La matière sonore, la texture, sa densité.
Comment savoir ce que l'élève écoute ? Certes le langage est une façon d'analyser, de dire ce que l'on a entendu mais il est différés en fin d'audition alors que le geste corporel est le révélateur immédiat de ce que l'auditeur perçoit.
Pour l'enseignant, l'action de l'enfant sera donc le moyen de contrôler son écoute.
En développant l'écoute d'une manière ludique, on ne pourra que mettre en valeur les trois formes de jeu mentionnées par J. Piaget : Ici recherche du son et du geste n'est autre que le jeu sensori-moteur , l'expression rejoint le jeu symbolique , l'organisation et la composition musicale sont des jeux de règle.
Cependant, le danger est de laisser les élèves dans l'activité, exclusivement, il faudra veiller à les rendre également acteurs de leur propre apprentissage.
Pour cela, ma démarche pédagogique sera la même que dans les autres champs disciplinaires et suivra le processus reconnu par les psychologues cognitivistes.
Ainsi je mettrai en place les différentes phases :
· Repérage et expectative : les élèves élaborent leur projet (ex. : accompagner instrumentalement un morceau ou une danse, un poèmes..)
. Appréhension et découverte active Ils essayent, tâtonnent, explorent , une notion nouvelle apparat et les élèves s'interrogent et formulent des hypothèses. Il y a réorganisation mentale par la confrontation avec les représentations déjà en place et peu à peu prise de conscience.
· Acquisition et entraînement : en vue d'assurer une mise en mémoire, à partir de l'exploration précédente, les élèves s'exercent sensoriellement avec les paramètres sonores, répètent le gestes instrumentaux ou mouvements corporels.
· Généralisation et transfert : les connaissances nouvellement acquises seront utilisées dans d'autres situations : organisées en vue de la réalisation du projet ou recherchées dans des oeuvres écoutées...
Quant aux périodes de performance et de renforcement, qui visent Ici maîtrise parfaite des connaissances, elles s'étendront tout au long du cycle 3 et même plus loin !
La musique répondant au besoin naturel et impulsif de l'enfant pour le jeu et le mouvement, j'essaierai de partir du vécu de l'enfant, de ses propositions, de ses découvertes à l'occasion d'explorations et de jeux, pour le mener ensuite à une pratique musicale plus consciente.
Certaines compétences seront donc à développer et mes objectifs pour l'année se
précisent, en liaison avec les Instructions Officielles citées en annexe n°5
- Améliorer les habiletés auditives (discrimination, audition intérieure, mémoire)
- Apprendre à nommer les éléments du langage musical et reconnaître la forme d'une organisation sonore (donner ainsi des repères, permettant de se construire
une « grille d'écoute ») ;
- Pendre sensible à toutes sorte de musiques, « ouvrir leurs oreilles ».
Je ne scinderai donc pas les activités d'écoutes recommandées par les Instructions Officielles, des activités vocales, corporelles et instrumentales et viserai « par l'alternance et l'interaction entre écoute, production et invention à aider les élèves à s'exprimer, développer leurs compétences, améliorer leurs productions et les comparer avec celles des autres, émettre des avis argumentés, développer leur sensibilité, musicale, leur imagination créatrice et vivre des démarches qui rejoignent celles du musicien ».
Quels
moyens utiliser pour atteindre ces
objectifs ?
Il s'agit de trouver des situations variées, associant écoute et production, dans lesquelles la démarche pédagogique (cf.1.3) sera partie prenante et qui permettront à l'élève de vivre la musique avec ce qui est le plus naturel pour lui, non seulement l'oreille mais son corps tout entier.
Je décide d'orienter le travail de la classe sur trois activités qui me semblent pouvoir être des facteurs de développement de l'écoute
- Les musicogrammes et la danse qui aident à découvrir la forme des oeuvres, la structure d'un morceau, la notion de temps (durée).
- Les paysages sonores qui permettent l'approche des caractéristiques de Ici matière sonore.
Ceux-ci ont un second intérêt qui est de mettre les élèves en situation de créativité et donc en abordant la démarche du compositeur de réinvestir leurs connaissances.
Le jeu instruments et vocal, le mouvement corporel sont étroitement liés à ces activités ainsi que l'audition d’œuvres du patrimoine.
Les
Musicogrammes 17
Un musicogramme est la représentation graphique d'une oeuvre, en tout ou partie, qui a pour but :
- de renforcer la compréhension et l'analyse de l’œuvre grâce au graphisme,
- de susciter une attention à l'écoute par une activité corporelle et ludique.
Intérêt
pédagogique
L'audition musicale est une activité de durée, une activité qui se déroule dans la succession et le partiel.
La visualisation d'un graphisme est une activité de l'instant, une activité, qui a lieu dans la simultanéité, et la globalité.
Le codage graphique d'une oeuvre renforce donc l'écoute par Ici perception de la globalité de l’œuvre.
Le musicogramme permet l'analyse dans la synthèse.
Les musicogrammes sont aussi dépouillés que possible afin de favoriser et clarifier l'écoute. Ils ne prétendent absolument pas analyser tous les paramètres d'une oeuvre mais bien d'avantage mettre en évidence, une ou quelques unes de leurs particularités.
Si la forme d'une oeuvre est la base dans l'élaboration d'un musicogramme, on peut également y analyser
- la durée et le rythme,
- la hauteur et la mélodie,
- le timbre et l'orchestration,
- l'écoute plurielle (polyrythmie),
- la dynamique (les nuances).
Dans l'enseignement musical, l'audition à certes une place de choix, mais sa pratique est souvent cognitive, mentale, théorique et insuffisamment affective, émotionnelle, psycho-motrice et ludique.
Le musicogramme propose d'écouter, de voir et d'agir simultanément, avec le corps, la voix ou l'instrument.
Les
Paysages sonores
« Pour
moi, la vraie musique a toujours existé dans les bruits de la nature. L’harmonie
du vent dans les arbres, le rythme des vagues dans la mer, le
timbre des gouttes de pluie, des branches cassées, du choc des pierres, des
différents cris d’animaux… sont pour moi la véritable musique. Mais il est
probable que les oiseaux sont les plus grands musiciens qui existent sur notre
planète : leur chant est extraordinaire ». Olivier
Messiaen
A toutes les époques, des musiciens ont été, sensibles à la nature et ont essayé, de la décrire dans leurs oeuvres, les exemples sont nombreux :
- au XVIème Clément Janequin et son « Chant des Oiseaux »,
- au XVIIème et XVIIIème s Couperin « Les bergeries » et Rameau « Le rappel des Oiseaux », Vivaldi et ses « Quatre saisons »,
- au XIXème, Beethoven et se « Symphonie Pastorale »,
- au XXème, Debussy avec « La mer », « Jardins sous la pluie » et Ravel « Jeux d'eau ».
Au-delà de la seule nature, l'environnement sonore quel qu'il soit a été saisi comme objet musical par des compositeurs contemporains dont Murray Schafer qui a inventé ce terme de «Soundscape » ou « Paysage sonore » sur lequel il base essentiellement la formation de l'oreille.
Intérêt
pédagogique
Il s'agit de créer, grâce à des recherches vocales ou instrumentales, un climat sonore, une ambiance.
Tout petits déjà, les enfants adorent imiter et répéter les sons qui les entourent et jouent ainsi spontanément avec leur voix.
« La simple imitation permet de prendre conscience
de certaines caractéristiques des sons. Cela conduit à explorer les
instruments ou sa propre voix pour s’approcher du modèle, ce qui exige
une écoute très précise ». M. FRAPAT
5
Mais
il s'agit d'aller plus loin que le simple bruitage. « Dès qu’il y a
perception auditive , il y a réception au niveau du centre nerveux supérieur,
il y a choix et, de plus, il y a organisation. Il conviendra
d’orienter tout particulièrement ces deux activités afin que l’expérience
des enfants représente véritablement un premier pas dans le domaine musical. »
Angélique FULIN 6
BIBLIOGRAPHIE
1 – « L'éveil musical, une pédagogie évolutive » Christina AGOSTI-GHERBAN Ed. E.A.P. Coll. Psychologie et pédagogie
de la Musique - 1995
2
- « L'enfant et les moyens d'expression sonore »
- Anne H. BUSTARRET Ed. Ouvrières
1975
3 - « L'oreille tendre » Anne H. BUSTARRET Ed. Ouvrières 1982
4 -
« La musique est un jeu d'enfant »
DELALANDE François Ed. Buchet/Chastel - 1990
5 -
« L'invention musicale en maternelle »
Monique FRAPAT CRDP Versailles - 1990
6 -
« L'enfant,
la musique et l'école » Angélique
FULIN Ed. Nathan - 1981
7 – « Se former à l'enseignement musical, approches didactique et pédagogique »
Claire GILLIE-GUILBERT et Lucienne FRITSCH Ed. Armand Colin
8 -
« Enseigner la musique à l'école »
Isabelle LAMORTHE Ed. Hachette - 1995
9 -
« De la musique avant toute chose »
Isabelle LAMORTHE Ed. Magnard - 1988 (Témoignages pédagogiques)
10-
« Petites aventures musicales »
Colette LOUIS-REIBEL Ed. Musiluc - 1993
11-
« Principes fondamentaux de formation musicale et leur application »
Maurice MARTENOT Ed. Magnard - 1970
12-
« Jeux Musicaux » Guy REIBEL
Ed. Salabert - 1984
13-
« Le geste musical » Claire
RENARD Ed. Hachette/Van de Velde - 1982
14- « Les
bases psychologiques de l'éducation musicale »
Edgar WILLEMS Ed. Pro Musica - 1976
15- « L'oreille musicale tomes 1 et 2 » Edgar WILLEMS Ed. Pro Musica - 1976
16-« L'éducation
artistique à l'école » Ministère
de l'E-N, et de la Culture
Coll. « Une école pour
l'enfant, des outils pour les maîtres »CNDP 1995
17-
Extraits de «
l'écoute musicale active par le
musicogramme » Ouvrage à paraître
aux Editions Alphonse Leduc par Anne-Marie Grosser et plusieurs diplômés de la
pédagogie Orff.